14 décembre 2011
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Autant certains coins de Venise sont toujours surpeuplés que l'on soit en haute ou basse saison (la place St Marc, le Palais des Doges, le Pont Rialto...), autant d'autres sont désertés dès que quelques gouttes de pluie tombent et que les températures baissent.
A la tombée sur jour, sur le Grand canal, alors que la lumière si particulière du crépuscule baigne les façades des palais, on goûte à la nostalgie de cette ville qui semble être morte prématurément et figée (pour toujours?) dans le temps.
Et pour aller avec cette série, "Riverside" d'Agnès Obél que tout le monde connaît sans doute déjà, mais que j'ai découvert, pour ma part, seulement hier.